lundi 24 octobre 2011

La ballade de l'impossible

Lors de notre précédente sortie, le 19 octobre dernier, nous sommes allés au Festival du Nouveau Cinéma visionner le film « La ballade de l’impossible » réalisé par Tran Anh Hung.  Ce film, se passant dans un Tokyo des années 60,  raconte l’histoire de Watanabe et de Naoko, les 2 principaux personnages, qui tout au long de l’action,  sont au centre de tourments et de questionnements.  Somme toute, ce film m’a beaucoup plus et j’ai vraiment pu apprécier certains éléments marquants.  

Premièrement, les costumes (et surtout le réalisme de ceux-ci pour l’époque) me semblent être un élément pertinent sur quoi m’attarder.  Comme il est indiqué plus haut, ce film se déroule dans les années 1960.  On peut facilement remarquer les différences vestimentaires qu’il y a entre les acteurs et notre style vestimentaire actuel.  Sans même savoir de quelle époque il s’agissait, j’aurais pu aisément déterminer qu’il s’agissait d’un style de ces années.  Pour les femmes, de petites robes colorées sont à l’honneur, voir même exclusives.  Les pantalons commencent à peine à être à la mode.  Tandis que pour la gente masculine, les chemises propres et un style épuré est abordé fièrement.  J’ai adoré les costumes, car tout en étant appropriés, ils étaient très beaux.   
Deuxièmement, le jeu des acteurs a été, selon moi, un des points forts et ce long-métrage.  Rinko Kikuchi, l’actrice qui incarne le rôle de Naoko, est l’une de mes préférées.  Elle a su susciter de nombreuses émotions en moi par son extrême talent à interpréter une jeune femme troublée et sérieusement perturbée.  Lorsque Naoko demande à Watanabe si celui-ci serait prêt à l’attendre malgré l’absence de relation sexuelle demeure une scène marquante et de très bon calibre.  De mon point de vue, les acteurs ont fait un très bon travail.


jeudi 13 octobre 2011

Le Festival du Nouveau Cinéma

Le Festival du Nouveau Cinéma est un festival qui est en vigueur depuis déjà  40 ans, soit dès 1971.  Tout commença grâce à Claude Chamberlan et Dimitri Eipidès, deux passionnés de cinéma.  Dès le tout début, ce festival connu un immense succès.
Il avait et a toujours pour but de faire découvrir une multitude de films et d’élargir la vision des spectateurs à un cinéma plus audacieux et différent.  Il contribue aussi à promouvoir des artistes qui, sans cela, ne seraient peut-être jamais sortis de l’ombre.  Les tarifs sont et resteront très démocratiques et abordables, pour permettre au plus grand nombre de gens de pouvoir y assister.  Contrairement à plusieurs autres festivals, les prix restent stables au lieu d’augmenter année après année. 
Dans la même optique, tous les formats de courts-métrage et de longs-métrage sont disponibles pour que la totalité des œuvres soient admises au grand public.  Ce festival prône également la gratuité quant à l’acquissions de celles-ci (les œuvres), pour pouvoir axer leurs dépenses ailleurs.  Par exemple, ces dépenses pourraient être investies dans les billets d’avion donnés aux artistes pour accentuer les rapprochements entre spectateurs et créateurs (ambiance familiale, anti tapis rouge etc.). 
Cette année, de nombreux films vont être à l’affiche telle que Melancholia, Chico et Rita, Les Tickets, The Ballad of Genesis and lady Jane, La guerre est déclarée, Pina et encore plus.  Ce festival se déroulera du 12 au 23 octobre 2011, et prévoit accueillir des milliers de visiteurs.  J’espère sincèrement pouvoir assister à l’une de ses représentations, car les représentants du FNC m’ont donné la piqure pour ce festival très divertissant. 
Vivement ce festival.